Poeme III
Je me souviens d'un dimanche
Stéphanie nue dans un champ
Ses vêtements posés sur les branches
De son corps au rebonds tranchants
De ses seins, son cul, ses hanches
Il ne me reste le plus touchant
J'ai toujours en moi l'image
De son bel et grand sourire
De nos amours sur la plage
De nos nuits au goût d'Elixir
Mais des tempêtes, des jours d'orage
Il ne me reste aucun souvenir
Stéphanie nue dans un champ
Ses vêtements posés sur les branches
De son corps au rebonds tranchants
De ses seins, son cul, ses hanches
Il ne me reste le plus touchant
J'ai toujours en moi l'image
De son bel et grand sourire
De nos amours sur la plage
De nos nuits au goût d'Elixir
Mais des tempêtes, des jours d'orage
Il ne me reste aucun souvenir